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One year under Trump

One year Under Trump

Aujourd’hui est le premier anniversaire de l’investiture de Donald J Trump à la Maison Blanche.

Qu’en penser ?

Pour reprendre le long et périlleux chemin suivi par Trump pour être élu, il faut dire que tous les médias ( américains, français) semblaient s’opposer à sa candidature. Mais qu’en savait la presse française ? Quelques bribes de sa vie passée : milliardaire, vedette de la télé réalité avec son programme «  The apprentice », burlesque dans ses propos, controverse dans ses idées. Mais rien, strictement rien sur son véritable caractère au-delà de ses fantaisies, fantasmes et scènes burlesques. Pourtant aux yeux de nombreux Américains venant du bas de la société par rapport aux snobs de l’axe New York-Washington DC et Hollywood, Trump représentait le «  American Dream ». Parti de peu ( un petit million de $ de son père), il a investit dans l’immobilier et a transformé son pécule en un empire : tours, casinos, investissements de toutes sortes qui l’ont fait milliardaire. Or cet accomplissement a été raillé, complètement dénaturé par la presse qui ne rêvait que de le descendre à coups de scandales. Rien n’y fit : Trump poursuivit son chemin vers la gloire médiatique car c’était un formidable animateur. Lorsque je vivais aux USA, j’ai suivi son émission : «  The apprentice » et j’adorais sa formule de fin de séance : «  You are fired » adressé aux perdants. Le «  Tu es viré » devint son slogan et se répercuta plus tard sors de sa campagne.

Lorsque Trump se dit candidat à la présidentielle, ce fut comme un immense éclat de rire des élites dans beaucoup de pays.  Sa tenue, sa coupe de cheveux, son bagout souvent vulgaire, ses propos misogynes  et contre les médias se traduisaient par  une idée presque fixe des intellos qu’il était le plus burlesque des candidats. Evidemment, il n’avait aucune chance d’être élu car le peuple américain était des plus intelligents et des  plus raffinés quant à leur choix pour être président.

Première erreur grossière de l’élite et de la presse américaine et étrangère : le peuple ne consistait pas uniquement de ceux qui constamment occupent la scène médiatique. Il y avait des millions et des millions d’Américains qui vivaient au ras des pâquerettes, le cow boy du Montana, le chômeur de Pennsylvanie, le surfer de Floride et tous ceux qui peinaient au travail pour gagner peu. En un mot la majorité des Américains. Et CNN, le New York Times et les organes de presse ne se souciaient pas d’eux, les considérant comme des bons à rien et des nuls puisqu’ils n’étaient les vedettes sur la côte Est.

Ce fut la révolte des misérables, des abandonnés de Washington, des délaissés de CNN en suivant le principe de Trump : il faut les virer ces «  Democrats » et cette élite de merde qui se croyait tout permis avec leur arrogance et leur mépris des classes ( couches) inférieures.

Mais c’était mal connaître l’électorat américain comme ce fut le cas aussi en France avec le «  dégagisme ». Renouveler le haut, la politique et la société devint le but de la campagne de Trump et beaucoup l’entendirent et le suivirent.

Une année plus tard, à son élection, ce fut comme un coup de tonnerre, un tsunami de haine déversé par les grands journaux de l’Est. Eux n’avaient rien vu venir, planqués dans leurs bunkers et bureaux dorés.

Alors leur seule considération pour ce nouveau président «  unusual » a été d’accélérer les critiques et les attaques personnelles comme Trump ce qui eut pour effet de le rendre plus combatif et surtout plus direct dans ses propos. Il l’a dit ouvertement qu’il n’aimait pas cette presse de merde et ces médias qui le harcelaient en lançant des «  fake news » sur son compte. Le moindre petit détail de sa vie privée était jeté en pâture au public, ce qui n’avait été fait pour Obama et d’autres présidents. Trump était devenu le monstre, la bête noire, le fou du roi, le pourri , l’être le plus misérable du pays. Alors Trump, pas timide pour un sou, répliqua en termes souvent injurieux et vils. La presse n’avait que ce qu’elle méritait et certains journalistes étaient particulièrement visés. Tu me déverses de la merde sur les épaules et moi je t’en renvoie autant. La presse avait faussé les rapports entre la Maison Blanche et le grand public.

A mon avis, Trump a eu raison de faire preuve d’un caractère bien trempé qui n’avait pas peur d’insulter et de crier SA vérité.

Sur ce blog je l’ai suivi et dans sa campagne et dans sa première année et je peux dire qu’il est un président sans peur mais pas sans reproches. Il a pris des décisions impératives qui étaient nécessaires : la Cop 21, une véritable arnaque élitiste contre les populations miséreuses, l’OTAN figé dans son utilité, les pays de merde où les élites s’engraissent au dépends du peuple fatigué, de CNN son pire ennemi.

Il fait bouger le monde, il démontre qu’il faut apporter des changements et il entraine derrière lui de nouvelles générations. Si Macron a été élu en écrasant les partis traditionnels, c’est que les Français voulaient un Trump à la tête de la France. Et ils l’ont : Macron les insulte, leur impose ses choix et décide à tout va. Pour l’instant il y a béatitude mais personne n’ose le critiquer comme l’est Trump. Bientôt certainement.

C’est mon avis personnel car je connais l’Amérique mieux que quiconque, étant le seul Français à avoir voyagé  et travaillé dans les cinquante états américains, vivant plus près du peuple que de l’élite que fréquentent nos soit disant experts médiatiques. C’est pour ces raisons que j’avais prédit la victoire de Trump dés février 2016 !

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