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Sept mois de travaux forcés

Le goulag des Français

Titre de nombreux journaux!

A PARTIR du 28 JUILLET, ON PEUT ENFIN TRAVAILLER POUR SOI !

28 juillet, jour de «libération fiscale» pour les salariés français. 

L’employé, l’ouvrier, le cadre, le fonctionnaire en un mot tous les Français qui travaillent et gagnent des revenus sont d’office condamnés à offrir les sept premiers mois de gains au gouvernement pour entretenir souvent de nombreux programmes inutiles et des dépenses somptueuses.

En ajoutant tout ce qui ligote le malheureux contribuable à l’administration du fisc, c’est une partie importante de ses gains qui part en fumée. La France est championne de l’écrasement fiscal :

En France, comme nous l’avons vu la date fatidique est le... 27 juillet. Soit 1 jour de plus que l'an passé ! Seuls la Hongrie et la Belgique arrivent plus tard (29 juillet et 4 août).

Parmi les grands voisins, les dates affichées par l'IEM sont : le 17 mai pour la Grande-Bretagne, le 19 mai pour l'Espagne, le 1er juillet pour l'Italie, et le 11 juillet pour l'Allemagne.

Pas étonnant avec les quelques exemples notoires que je vais vous

donner :

Le plus visible, c’est l’entretien du chef de l’état. Son budget pour le Palais de l’Elysée dépasse les cent millions d’euros par an. La Maison Blanche même avec Trump coûte moins de 50 millions d’euros. 10 Downing Street, moins de trente millions et Merkel se contente d’une somme semblable.

Mais la France qui a tendance à péter plus haut que son derrière, met le prestige en avant pour épater les copains de marques. Le salarié qui n’en bénéficie nullement est obligé de passer au bassinet. Que ce soit un président socialiste ne change en rien la donne ( Voir avec Hollande !).

Autre dépense pharaonique : l’armée française qui est en réalité de pacotille vu ses performance depuis 1939 : défaite écrasante de 40, défaite de Dien Bien Phu en Indochine, virée de l’Algérie et insignifiante en Syrie et au Sud Magreb. Par contre sur les Champs Elysée pour impressionner Trump, défilé au pas cadencé et pour rappeler la fameuse formule du Général Foch avant 1914 «  il ne manque pas un bouton de guêtre à nos soldats ».

Continuons avec la pagaille du service chômage, des subventions et des multiples aides aux associations et aux réfugiés.

Tout se comptabilise et la Cour des Comptes pousse un cri d’alarme, tant notre dette prend de l’ampleur.

Notre commerce extérieur depuis des décennies subit un déficit énorme tandis que celui de l’Allemagne est à son plus haut niveau de bénéfices.

Alors comme depuis des années, le Français ira au turbin pour des queues de prunes pendant sept mois. Au premier août, un sou gagné sera un sou gardé mais aussitôt dépensé pour de nombreuses familles. Pas de possibilité d’économies, pas de livret A qui se remplit. Tout va dans les fouilles de l’administration.

Bizarre qu’en 1789, les Français se soient révoltés pour une situation semblable !

Pour en savoir plus lire " Quand le Made in France devient le Mad in France"

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