Macron Premier vs Le Pen Bis, 978-3-659-55982-2, La scène politique a été balayée par un tsunami qui a renversé les partis traditionnels créant même selon Manuel Valls " La mort du parti soc...
Hier 21 juin, premier jour du printemps, il s’est passé plusieurs événements remarquables :
Le premier est ce que les Américains appellent « Spring cleaning », ( Nettoyage du printemps lorsque les gens vident leur grenier et nettoient leur maison à fond). Le locataire de l’Elysée a suivi à la lettre cette longue tradition d’Outre-Atlantique. Un grand coup de balai a viré à la déchetterie de vieilles tapisseries qui commençaient à sentir le moisi. Sans explications, sans prendre de gants, il a arraché le papier peint du salon et l’a remplacé avec des nuances plus colorées et des motifs féminins.
Puis devant le perron de son Palais, un orchestre colombien a joué des morceaux entrainants et un grand jeu de chaises musicales s’est organisé : quatre sièges devaient changer de propriétaire. Deux tours de piste et voilà nos virés le cul par terre et le nez dans le caniveau ! A qui la faute ? Inutile d’aller bien loin ! Notre fougueux président a sorti le karcher comme le demandait jadis un autre président. Mais Macron l’a fait sans scrupules, sans compassion, sans un regard en arrière. Cet accessoire, ce tabouret qui l’avait aidé à gravir les marches du pouvoir devenait encombrant. Il fallait lui scier les pattes et le renvoyer dans sa mairie pourrie.
Voilà c’est fait ! On se demande à qui le tour ? Attention Macron utilise les gens comme des kleenex : il se torche avec et tire la chasse d’eau. Le problème est résolu et le derrière de ses collaborateurs est nickel. C’est une des clauses de la loi sur la moralisation. On a tous compris et on va se tenir à carreaux