Crash de l’A-320 de Germanwings
Depuis ce terrible accident ou plutôt attentat/suicide par le co-pilote allemand Andreas Lubitz, les passagers des compagnies aériennes se sentent mal à l’aise en prenant l’avion. Cette dernière semaine, j’ai pris plusieurs vols et à chaque atterrissage sur le tarmac, les gens ont applaudi, heureux d’être arrivés à destination vivants. Cela arrivait rarement, très rarement, car il était convenu qu’un avion décollait et atterrissait sans problèmes. Seules les intempéries pouvaient créer des difficultés ou occasionner un crash. Pas un pilote surtout allemand de la Lufthansa.
Or des détails nous parviennent venant toujours de la presse américaine qui fouille plus profondément que la presse européenne trop traumatisée par ce drame. Ou ont-ils des consignes des gouvernements français et allemand de lever le pied ?
Par contre, loin de l’Europe, les préoccupations sont autres et cet incident est rarement cité.